D COMME DÉBUT
Le début se situe à l’opposé de la fin. C’est un moment parfois difficile à saisir. Le début de son commencement suscite beaucoup d’interrogations. Le philosophe, le religieux, le physicien, mon boucher-charcutier ont des explications variées construites sur des hypothèses fragiles, étayées par des déductions hasardeuses et confirmées par des révélations douteuses.
Le début de la fin est plus serein. Devenu inéluctable, après avoir été préparé depuis plus ou moins longtemps, il arrive à l’échéance commune à tous.
Nous en détaillerons les péripéties dans notre exégèse du mot FIN.